La nuit tombe, et contrairement à la belle époque, Pigalle allume ses néons pour trinquer les verres à cocktail des bars de Pigalle.

La magie de la belle époque est toujours présente dans les neuvième, dix-septième et dix-huitième arrondissements de Paris. Pigalle abrite le Moulin Rouge et les Folies Bergères, deux lieux incontournables de l’époque qui ont animé toute une génération avec leurs lunettes et leurs belles femmes.

Il fut un temps où la criminalité et la saleté envahissaient les rues de Pigalle, malgré la mode du quartier, et bien que cela ait été résolu en partie, de nombreux habitants âgés de Pigalle rêvaient d’une époque où elle semblait plus vivante et moins « variée ». Plus de bars et plus de musique. Pour eux, aujourd’hui la zone est « morte ».

Cependant, on ne peut s’empêcher de mentionner qu’aujourd’hui, c’est au tour des bars Dirty Dick, Bar Glass, Dr Lupin, Lulu White, le bar du Grand Hôtel Pigalle ou Bonnie et Clyde d’animer une partie de Pigalle, dans la rue Frochot et la rue Victor Massé. Nous leur devons de bonnes compétitions, de bons cocktails et une bonne représentation des bartender français – et internationaux qui y vivent – et de nombreux autres bars de la capitale.

Nostalgie et mode vont de pair, si nous apportons une évolution à cette scène, tout sera pour le mieux.

 

Ne buvez pas au volant. Consommez avec modération.

Leave a comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *